
Les Quatre de McLaren – Une brève histoire des voitures de route McLaren et les solutions Abrites Diagnostics pour McLaren
I. Les Quatre de McLaren
1988, aéroport de Milan. Creighton Brown – directeur de McLaren Racing ; Ron Dennis – directeur de l’écurie McLaren ; Mansour Ojjeh – soutien financier de McLaren ; et au centre de tout cela, Gordon Murray – un homme qui n’a pas besoin d’être présenté, véritable force motrice derrière le projet.
Sans le savoir, ces quatre hommes allaient changer le cours de l’histoire : ensemble, ils décidèrent de créer une voiture affranchie de toute limite – la McLaren F1. Aujourd’hui, 37 ans plus tard, la F1 reste la référence absolue, le modèle sur lequel les hypercars continuent d’être conçues.
Pour découvrir toute l’histoire fascinante de la fin des années 80 et 90, vous pouvez visionner la vidéo de THE SQUIDD sur YouTube.
II. Une imprimante comme nom
22 ans après la naissance de la F1, Top Gear animait nos dimanches soirs. C’est dans l’une des rubriques “news”, au détour d’une blague de Clarkson, Hammond et May, que j’ai entendu parler d’une voiture portant le nom d’une imprimante : la McLaren MP4-12C. McLaren revenait dans le monde des voitures de route.
Plus tard, McLaren prit une décision sage : retirer le “MP4-” du nom pour ne garder que 12C. C’était le véritable retour des voitures de route McLaren. À ce moment-là, le fameux quatuor originel n’existait déjà plus et l’équipe était totalement différente, mais le mantra fondateur demeurait : construire des voitures brillantes.
La 12C n’était pas l’héritière spirituelle du trône de la F1, mais une sportive “d’entrée de gamme”, pensée pour rivaliser avec la Ferrari F430 et la 458 Italia venues de Maranello.
III. Le poids lourd
En 2013, McLaren Automotive trouvait enfin sa voie. Il fallait une voiture emblématique, une halo car. Impossible de l’appeler F2 ou un nom banal : il fallait quelque chose de retentissant. Ainsi naquit la P1 – pour Position 1 – affirmant haut et fort qu’elle était “au-dessus de toutes”.
La P1 fut conçue pour figurer parmi les toutes premières hypercars hybrides, devenant un pilier de la célèbre “Sainte Trinité” aux côtés de la Porsche 918 Spyder et de la LaFerrari.
La P1 s’impose sans aucun doute comme l’une des plus grandes voitures jamais produites. Mais était-elle vraiment une F1 ?
IV. Abrites Diagnostics pour McLaren
Il était temps de proposer une solution pour les véhicules McLaren.
En commençant par la 12C et jusqu’aux modèles les plus récents comme la W1, l’Abrites Diagnostics pour McLaren démontre notre capacité à créer le meilleur logiciel de diagnostic du marché secondaire.
Ce que vous allez découvrir est la toute première version de notre solution de diagnostic dédiée aux McLaren. Elle illustre parfaitement l’application des compétences Abrites à l’un des plus prestigieux constructeurs de supercars au monde. Bruce McLaren lui-même en aurait été fier.
V. Et ensuite ?
La prochaine étape consiste à lancer des mises à jour intégrant les fonctionnalités spéciales Abrites dans le Diagnostic pour McLaren, avec toutes les nouveautés que nous préparons pour vous.
Nous espérons sincèrement que des passionnés comme Arne de Cannonball Garage testeront notre outil. Si vous y travaillez – faites-le-nous savoir !
VI. L’avenir du chapitre McLaren
Alors que le premier chapitre des “Quatre de McLaren” touche à sa fin, et qu’il ne reste que deux membres (qui ne se parlent plus), il ne nous reste qu’à regarder vers l’avenir – vers la manière dont nous, indépendants, pouvons collaborer pour écrire le prochain chapitre de McLaren.
Voici un aperçu de la collection de Mansour Ojjeh. Adressez-vous à RM Sotheby’s pour en savoir plus.
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